5 conseils pour ouvrir une boutique de cosmétiques

Comment ouvrir une boutique de cosmétique ? Par où commencer ? Quelles sont les démarches à suivre ?

Telles sont les questions souvent posées par les professionnels souhaitant se lancer dans cette activité.

Effectivement, créer ce salon est un rêve et une aventure passionnante, mais demande notamment une bonne préparation et réflexion.

Étant un marché dynamique en ce moment, la concurrence est donc rude.

Voici 5 conseils essentiels à adopter !

Choisir son statut juridique

Qui dit ouvrir une boutique de cosmétiques, dit également ouverture d’un salon, donc de nature commerciale.

C’est donc une forme d’entreprise dont sa création se fera auprès du centre de formalités de la Chambre de Commerce et d’Industrie.

Pour créer sa propre boutique, tout commence ainsi par le choix de son statut juridique. Parmi les palmarès existants, vous avez le choix entre :

  • La micro-entreprise : statut simple, pas très adapté à une boutique de cosmétiques du fait que cette dernière nécessite un certain niveau d’investissement ;
  • L’entreprise individuelle (EI) : statut classique, bien adapté à ce type d’activité ;
  • L’EIRL : bon statut, permet de protéger votre patrimoine personnel ;
  • L’EURL : statut le plus adéquat pour le salon de cosmétique, car le gérant a tout à son pouvoir ;
  • Le SASU : statut très en vogue, permettant d’éviter la Sécurité sociale pour les indépendants.

Selon les critères cités ci-dessus, vous êtes libres de choisir le statut convenable à votre projet.

Mener une étude de marché

Comme souvent, l’ouverture d’une boutique aussi spécialisée qu’une boutique de cosmétique naît d’une passion.

Elle requiert rigueur et connaissances, mais aussi diverses études à effectuer.

Il faut ainsi procéder étape par étape en commençant par une étude de marché sur votre zone de chalandise :

  • Trouvez vos futurs fournisseurs de produits cosmétiques ;
  • Rédigez votre business plan et établissez un plan de financement ;
  • Demandez des aides nécessaires au démarrage.

Ensuite, dès le départ, pensez à votre stratégie de bien vous démarquer des autres concurrents.

Faire le point sur son budget

Le budget est bien évidemment l’un des critères à ne jamais délaisser lors de la création d’une boutique de cosmétique.

Parmi les autres dépenses liées au démarrage et aux investissements à prévoir, notez également :

  • Les frais d’établissement,
  • Les éventuels droits d’entrée,
  • L’achat du matériel de bureau et des fournitures,
  • Les éventuels travaux et aménagements,
  • La trésorerie de démarrage,
  • Etc.

Ce ne sont que des exemples.

À préciser que le coût reste très variable en fonction de la boutique que vous allez créer.

Se démarquer avec les tendances du marché

L’univers de la cosmétique demeure très large.

Il est possible de rencontrer une multitude de produits de beauté (mascara, maquillage, rouge à lèvres), d’hygiène (shampoing, déodorant, dentifrice) et de beauté (crème anti-âge, antiride, gommage, masque).

Certes, tout cela doit être bien rangé dans un bon rayonnage de magasin. Ne cherchez plus loin, vous pouvez trouver ceux dont vous avez besoin sur ce site agenc-mag.com.

Pourtant, quand vous commencez à ouvrir votre boutique, il est déconseillé de disperser et de proposer une grande quantité de variétés de produits. Mieux vaut commencer avec ceux qui vous passionnent réellement.

La raison, puisque vous devez maîtriser les éléments techniques pour bien répondre aux questionnaires des clients.

Repérer les clientèles

La dernière étape consiste à connaître vos principales cibles, autrement dit, le consommateur idéal. Vous devez connaître les besoins des clients et leurs budgets.

Sans ces éléments clés, il est impossible d’avancer dans la bonne direction pour maximiser vos chances de conversions.

Déterminez ainsi le profil type de votre client en posant la question « à qui vendre mes produits ? » En étant le plus précis possible et en ajoutant des paramètres comme âge, classe sociale, habitude…, vous pourrez sûrement avancer dans les bonnes conditions.

Et n’oubliez pas également que « le client est roi ! »