Les motivations de l’entrepreneur avec Geoffroy Stern

Les motivations de l'entrepreneur avec Geoffroy Stern

Dans un monde d’inactions et de promesses qui ne sont jamais tenues, vous vous sentez chaque seconde en droit de devenir entrepreneur.

Savoir dépasser le cadre de l’éducation

Selon le consultant Geoffroy Stern, devenir entrepreneur commence avec la capacité de penser en dehors des limites humaines qui ont été imposées et en dehors de l’éducation qui a été donnée.

Affronter les critiques

Quand d’autres vous critiquerons, vous avancerez. Quand d’autres vous mépriserons vous avancerez vers le succès. Sachez utilisez les avis négatifs pour nourrir vos idées.

Mettez de côtés vos pensées négatives et restez humbles.

Faire face aux craintes et voir grand

Alors que d’autres se posent trop de questions, vous prendrez des actions concrètes. Vous penserez gros quand d’autres penseront petit et vous ferez des sacrifices quand d’autres n’en feront jamais.

Soyez fiers et humbles

Un entrepreneur doit être fier des opportunités qu’il s’est créées dans sa vie et celles à venir. En revanche, Geoffroy Stern vous conseille de ne pas parler de votre succès à ceux qui ne sont pas prêts de l’entendre. Laissez votre succès faire du bruit.

Faire des sacrifices et se relever

Vos sacrifices d’aujourd’hui vous offriront un meilleur lendemain alors vivez le reste de votre vie comme vous l’avez imaginée tandis que d’autres ne pourront qu’en rêver.

Bien sûr il est dans la nature humaine d’échouer, mais votre détermination fera votre succès demain.

La force de l’entrepreneur

Un entrepreneur a le pouvoir d’impacter massivement les autres et de changer sa propre vie. Peu de personnes ont cette capacité alors il faut en faire bon usage.

Geoffroy Stern précise qu’un entrepreneur est un leader, qui se lève chaque matin avec le désir de voir avancer son entreprise.

La seule différence entre ceux qui essaient et ceux qui accèdent à la réussite, c’est la capacité de ne pas abandonner.

La peur de l’accouchement

 

La date de votre terme approche, mais entre patience et excitation, vous êtes surtout paniquée :vous avez peur de souffrir et que votre accouchement se passe mal. Qu’on se rassure, l’angoisse de l’accouchement est totalement normale, surtout lorsque l’on est pas encore passée par cette épreuve physique et psychique. Même si les visites prénatales et les progrès de la technologie médicale sont là pour nous rassurer, comme le rappelle la maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris à travers ses différentes pages consacrées à la préparation à l’accouchement.
Quand une future mère confie sa peur de l’accouchement, c’est souvent sa crainte de l’inconnu qu’elle exprime. Un accouchement comporte une part de violence : une étude menée en Israël, publiée dans le journal Israel Medical Association Journal (IMAJ) a même révélé qu’une femme sur trois présente tous les signes d’un trouble de stress post-traumatique après avoir accouché, un trouble généralement associé à la guerre ou aux attaques terroristes. L’effraction que continue le passage du bébé dans un lieu intime et erotisé peut aussi troubler certaines femmes.

L’accouchement, la naissance d’une mère

On sait qu’avec l’arrivée du bébé, notre vie va basculer et que rien ne sera plus comme avant. Accoucher, c’est aussi devenir mère, et de nombreuses interrogations nous assaillent avant et même après la naissance du bébé : une femme sur 10 environ, qui a peur de ne pas être à la hauteur, est touchée par les symptômes du Baby Blues…et c’est normal, comment être sûre qu’on sera une bonne mère ?

La peur de l’accouchement, une histoire de famille

Les peurs varient d’une femme à l’autre parce qu’elles dépendent de leur histoire personnelle. Plus celle-ci est lourde (fausses couches dans la famille, naissance difficile d’un premier enfant, handicap…), plus les craintes ressenties à l’approche de l’accouchement risquent d’être importantes. Cette angoisse pourra se focaliser sur quelque chose de concret, comme la peur des forceps ou d’une césarienne par exemple.
La représentation, positive ou non, qu’on a de l’accouchement vient en partie de ce qu’inconsciemment notre mère ou quelqu’un d’autre de la famille nous a transmis. C’est ainsi que, d’une génération à l’autre, on retrouve des inquiétudes identiques de mère en fille. Comme une peur ancestrale qui renvoie aux générations passées, à nos arrière-grands-mères qui risquaient leur vie pour donner naissance à leur bébé. Certes, aujourd’hui le risque de mourir pendant l’accouchement a pratiquement disparu de nos sociétés occidentales, mais cette éventualité n’est pas sortie de l’esprit de certaines femmes.

Attention aux récits violents d’accouchements

Même si nous ne sommes pas particulièrement angoissées, notre entourage se charge souvent de nous rappelons, précisions à l’appui, le déroulement d’une naissance. Sans parler de tous ces accouchements aussi insolites les uns que les autres qu’on voit à la télé et sur Internet…Ce qui n’est pas toujours très rassurant ! Il est difficile pour une femme enceinte qui entend ce type de récit, de ne pas faire le lien avec son propre accouchement. La psychologue qui consulte en maternité est là pour dédramatiser et veille à différencier les histoires pour que la future mère retrouve sa singularité et sa sérénité.

Prenez le temps de vous reposer

Gardez du temps pour vous. Il n’y aucune raison de vous sentir coupable car vous vous sentirez mieux. Au travail, essayez de surélever vos pieds et de vous détendre vraiment pendant votre pause-déjeuner. Une fois à la maison, limitez, si possible, les tâches ménagères.
Si vous vous sentez épuisée, couchez-vous tôt. Votre corps travaille dur pour nourrir votre bébé en développement et il a besoin d’un maximum de sommeil.
Si vous êtes déjà maman, vous aurez peut-être plus de mal à trouver le temps de vous reposer. Pourquoi ne pas demander à votre compagnon, à un ami ou aux grands-parents de garder vos enfants un après-midi par semaine ? Cela vous permettra de vous accorder une pause.

Faîtes de l’exercice

L’exercice peut vraiment influer sur votre humeur. Il est tout à fait sans danger de faire de l’exercice pendant la grossesse tant que vous ne choisissez pas des activités trop intensives. La natation est idéale, elle tonifie les muscles tout en préservant les articulations.
Le yoga de la grossesse permet de tonifier et d’étirer votre corps. Il vous apprend aussi des techniques de respiration, de relaxation et de méditation. Toutes ces techniques vous aideront à soulager votre anxiété.
Essayez d’intégrer des exercices à la vie quotidienne. Au travail, levez-vous et marchez régulièrement surtout si vous êtes assise toute la journée à un bureau. Sortez déjeuner pour prendre l’air, même si ce n’est que pour 10 minutes.

Préparez-vous à l’accouchement

Vous vous inquiétez peut-être au sujet de votre accouchement. Comment supporterez-vous la douleur ? Comment votre compagnon réagira-t-il ? Pour en savoir plus, inscrivez-vous au cours de préparation à la naissance, comme ceux que propose la maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris.

Faîtes-vous plaisir

Rire est l’une des meilleures manières de détendre le corps. Réunissez-vous par exemple entre amis, regardez un DVD amusant avec votre compagnon ou allez au cinéma. Si vos finances vous le permettent, offrez-vous un weekend en amoureux et profitez-en au maximum.
La grossesse est aussi la période idéale pour profiter des soins de beauté que vous ne vous offririez pas en temps normal. Si votre ventre vous gêne pour vous couper les ongles de pied, pourquoi ne pas prendre rdv chez un pédicure ? Chouchoutez-vous, vous le méritez !

Le mal du pays : quelques parents témoignent

Changer de pays, quitter sa famille, ses amis, c’est dur pour les enfants mais pour les parents aussi. En Argentine, Nadège a mis en place une technique bien à elle pour consoler sa petite tribu. Aux Philippines, Adelaïde préfère ne pas cacher ses coups de blues à ses filles et puis en Angleterre, Myriam aimerait modifier l’image des expats.

Le témoignage de Myriam, en Angleterre

Myriam : « Souvent les gens voient les expatriés comme des privilégiés. Alors c’est vrai qu’on est privilégié. En général, expatrié dans le sens où je le vis moi c’est-à-dire que je suis mon mari qui est muté par sa boîte dans différents pays. C’est vrai que du coup on est plus privilégié mais parfois ça peut s’avérer aussi être une « prison dorée » : on est un peu coincés, on ne fait pas ce qu’on veut, le conjoint qui suis fait un peu une croix sur sa vie professionnelle ou alors s’il veut construire une vie professionnelle, il faut que ce soit possible de bouger tous les 3 ans. Cela demande des efforts et c’est parfois dur à faire de changer de vie de déménager souvent, de changer ses enfants, tout cela demande beaucoup d’efforts et beaucoup d’énergie et donc les expatriés qui vivent bien et qui sont heureux, ils le méritent parce que ça ne se fait pas tout seul. »

Le témoignage d’Adélaïde, aux Philippines

Adélaïde : « C’est un inconvénient aussi parce que ça ne se fait pas tout seul, tout ce qui autour de la continuité du lien et ça même les adultes se posent la question de savoir comment faire quand on part, qu’est ce qu’on garde et comment on fait pour entretenir le lien à distance. C’est vrai que nous aussi on doit séparer et je pense que c’est important de ne pas le cacher aux enfants. Dire que nous aussi on ressent des émotions, ça peut être aussi très rassurant pour un enfant. Et le fait de dire nos émotions n’est pas forcément d’angoisser nos enfants. C’est aussi une manière d’échanger, de se rapprocher aussi et puis de partager ensemble. Ce qui fait que cette vie-là a quelque chose de particulier par rapport à la séparation et les sentiments. »

Témoignage de Nadège en Argentine

Nadège : « Un changement de pays amène aussi vers l’adulte une sorte de moment de deuil. Il y a des pays dont on se remet plus vite que d’autres et moi je ne suis pas différentes des enfants, je les aide mais nous adultes on passe pareil, on quitte les amis, on quitte notre zone de confort. C’est plus les enfants quand ils arrivent avec trop de négativité, il y a un moment donné on est obligé de dire « bon ben ça suffit parce que moi aussi j’ai ma négativité » . Il y a l’empathie et à un moment donné le discours est simple, on a pas le choix. On peut se plaindre, on peut dire que…mais au bout du compte, le pays où l’on habite maintenant c’est la seule école à laquelle on peut aller. Du coup j’ai mis en place 15 minutes par jour pour avoir le droit d’être dans une émotion négative. Parfois cela fait du bien d’aller jusqu’au bout. C’est comme quand on est très triste, cela ne va pas changer les choses mais d’aller jusqu’au bout et puis après on repart de l’avant.

Source :

Geoffroy Stern présente Wattsplan une startup bien-être

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Vous souhaitez pratiquer une activité sportive ou de bien-être mais vous ne trouvez pas de partenaires pour vous accompagner ? Vous ne savez pas où se trouvent les lieux de pratique les plus proches ? Vous cherchez un coach pour vous aider à progresser? Vous avez peu de moyens, vous êtes souvent en déplacement ? Vous venez d’emménager dans une nouvelle région ? Vous aimeriez vous mesurer à d’autres pratiquants, organiser des tournois ?

La startup du bien-être Wattsplan

Wattsplan est une jeune startup qui vous permet de créer gratuitement votre propre plan en un clic dans près de 300 activités sportives et de bien-être et de le diffuser directement auprès de ceux qui partagent les mêmes centres d’intérêts que vous. Vous aimez le tennis, le foot, le running ? Geoffroy Stern signale que vous pouvez vous créez un profil et sélectionner ces activités. Puis vous verrez s’afficher directement sur votre fil d’actualités tous les plans proposés par les membres à proximité.

Wattsplan c’est 150 000 installations sportives référencées en France comprenant plus de 300 000 équipements sportifs; 3000 centres de bien-être, des plans proposés par des particuliers et des professionnels multipliant les opportunités de pratiquer vos activités de forme et de bien-être favorites ou vous permettant d’en découvrir certaines.

Bien être avec les autres

Geoffroy Stern précise que Wattsplan c’est aussi une communauté de de membres particuliers et professionnels partageant les mêmes valeurs. Le site dispose d’une carte qui permet de visualiser en un clin d’œil, les plans, lieux et profils des membres à proximité susceptibles de vous intéresser.

Devenez acteur du bien-être des autres

Avec Wattsplan, Geoffroy Stern indique qu’il est possible de référencer soi-même des lieux dédiés à la forme et au bien-être. Par ailleurs, Wattsplan dispose d’un blog qui fournit de nombreux conseils pour se sentir bien, reprendre confiance en soi et être en forme.

À l’heure actuelle Wattsplan fait partie des jeunes startups promises à un bel avenir. La startup souhaite attirer toutes celles et ceux qui souhaitent développer leur forme physique et psychique. Une communauté d’une centaine d’utilisateurs particuliers et professionnels est déjà constituée.

Changer notre façon de penser.

Nous pensons souvent que seul le temps peut nous faire changer, nous pouvons pourtant arriver à influer volontairement sur notre façon d’appréhender les choses et c’est pour cela que de nombreux livres sur le sujet existent, notamment celui de l’auteur Raphaëlle Giordano, dont le titre est parlant « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une ».  Lire la suite de « Changer notre façon de penser. »